Ambhitrimanjaka, 25 juillet.
Même si nous sommes à moins de 2 heures de notre départ pour Morondave, nous ne pouvions passer sous silence l'expérience très enrichissante que nous venons tout juste de vivre. Effectivement, vers 08h00, nous sommes descendues à l'atelier de la formation technique, qui se trouve au sous-sol de la maison, afin de se familiariser avec la poterie. Nous avons vite constaté que cette dernière activité peut et doit être considérée comme un grand art, car elle nécessite beaucoup d'expérience, de patience et de technique. Cependant, même si nous n'avons pas réussi à révolutionner le monde de l'argile par l'absence de notre talent et surtout de technique, nous nous sommes bien amusées à reproduire la célèbre scène du film Mon fantôme d'amour, et sans contredit la plus quétaine du cinéma, où la fille décide de faire de la poterie, sans véritable raison, au beau milieu de la nuit (Pour ceux et celles qui ont vu le film, vous comprendrez exactement de quelle scène nous parlons...mais ne vous inquiètez pas, il y avait beaucoup moins de sensualité dans l'air.).
Farce à part, les élèves que nous avons vu à l'oeuvre aujourd'hui, réalisent cette tâche avec beaucoup de sérieux, car certains d'entre eux n'auront jamais la chance d'apprendre, de cette façon, un autre métier et réussiront à survivre dans ce monde grâce aux bases d'artisanat qu'ils auront apprises à cette école de formation. En plus de la poterie, ils font du tissage, la fabrication de paniers et apprennent à travailler le bois. En fait, la relation entre les élèves et l'enseignant nous fait penser à la relation qui pouvait y avoir entre le maître et son apprentit au Moyen Âge. L'enseignant guide les élèves, les aident à résoudre leur problème, leur apprend de nouvelles techniques au fur et à mesure que le besoin naît. Une relation de profond respect est présente et tous les jeunes sont actifs et fiers de leur réalisation.
Ce petit moment argileux que nous avons vécu ce matin en compagnie de ces élèves qui s'efforçaient à nous enseigner à pétrir la pâte et à réaliser un semblant de vase au moulin a été très riche et nous nous en souviendrons pour encore très longtemps.
Même si nous sommes à moins de 2 heures de notre départ pour Morondave, nous ne pouvions passer sous silence l'expérience très enrichissante que nous venons tout juste de vivre. Effectivement, vers 08h00, nous sommes descendues à l'atelier de la formation technique, qui se trouve au sous-sol de la maison, afin de se familiariser avec la poterie. Nous avons vite constaté que cette dernière activité peut et doit être considérée comme un grand art, car elle nécessite beaucoup d'expérience, de patience et de technique. Cependant, même si nous n'avons pas réussi à révolutionner le monde de l'argile par l'absence de notre talent et surtout de technique, nous nous sommes bien amusées à reproduire la célèbre scène du film Mon fantôme d'amour, et sans contredit la plus quétaine du cinéma, où la fille décide de faire de la poterie, sans véritable raison, au beau milieu de la nuit (Pour ceux et celles qui ont vu le film, vous comprendrez exactement de quelle scène nous parlons...mais ne vous inquiètez pas, il y avait beaucoup moins de sensualité dans l'air.).
Farce à part, les élèves que nous avons vu à l'oeuvre aujourd'hui, réalisent cette tâche avec beaucoup de sérieux, car certains d'entre eux n'auront jamais la chance d'apprendre, de cette façon, un autre métier et réussiront à survivre dans ce monde grâce aux bases d'artisanat qu'ils auront apprises à cette école de formation. En plus de la poterie, ils font du tissage, la fabrication de paniers et apprennent à travailler le bois. En fait, la relation entre les élèves et l'enseignant nous fait penser à la relation qui pouvait y avoir entre le maître et son apprentit au Moyen Âge. L'enseignant guide les élèves, les aident à résoudre leur problème, leur apprend de nouvelles techniques au fur et à mesure que le besoin naît. Une relation de profond respect est présente et tous les jeunes sont actifs et fiers de leur réalisation.
Ce petit moment argileux que nous avons vécu ce matin en compagnie de ces élèves qui s'efforçaient à nous enseigner à pétrir la pâte et à réaliser un semblant de vase au moulin a été très riche et nous nous en souviendrons pour encore très longtemps.
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