Morondave, 27 juillet 2008
Ce matin, à 4h00, nous étions assises dans le taxi à la recherche de ces géants qui croient au fil des années: les baobads. Pour nous accompagner sur notre route, nous avions un magnifique ciel étoilé et Bob Marley à la radio...quoi exiger de plus. À moins d'une heure de route en pleine brousse, nous avons vu devant nous cette allée tant parlée et tant attendue. La nuit nous cachait encore ces merveilles, mais nous tentions d'analyser ce mystique arbre à travers la lueur des étoiles et de la lune. Appareil photos à la main, nous attendions les premières lueurs du soleil pour pouvoir vous partager cet alignement majestueux. Malgré le fait que l'allée des baobabs est la plus photographiée de tout le Madagascar, nous étions les deux seules vasas assez crinquées pour prendre le taxi au petit matin et faire ce circuit en pleine brousse. Après les premières percés du soleil, nous avons vite compris pouquoi cette allée était si prisés par les touristes. Malgré le fait que nous avions vu maintes toiles et photos de cet endroit, le fait d'y être ne peut être comparable. Le sentiment d'être à un endroit que peut de gens auront la chance de voir dans leur vie est très particulier et ajoute de l'importance à ce moment. Les images que nous avons prises de pourrons vous communiquer cette sensations, mais pourront vous démontrer la beauté et la richesse de cet endroit.
Ensuite, à six kilomètres plus loin, nous sommes allées observer les baobabs amoureux qui sont malheureusement mutilés par les graffitis des touristes. Et oui, ces maîtres de la nature subissent le même sort que ces ponts, ces édifices et nombreuses affiches sur lesquels les amoureux ne peuvent s'empêcher de graver à tout jamais leur amour du bout de la lame d'un couteau ou encore d'une clé d'automobile. Dommage que ces derniers ne réalisent pas l'impact négatifs que leur envie a sur le paysage.
Au Madagacar, on dénombre 6 et 7 selon certaines sources, des 8 espèces de baobabs rescencé sur la planète. Le continent africain n'en compte qu'une, tout comme l'Australie. Nous retrouvons les baobabs principalement sur la côte ouest et le sud de la Grande Île. Tout comme plusieurs arbres malgaches, le baobab connait une multitude d'usage, malgré que sa solidité empêche les habitants de l'abattre. Ses feuilles et ses fruits peuvent se consommer bouillis, son écorce, une fois l'arbre mort, sert à fabriquer des cordes, des vêtements et à bâtir des maisons. Sa sève est utilisée pour confectionner du papier et finalement et son tronc représente un véritable réservoir d'eau et peu contenir des milliers de litres. Certaines espèces sur l'île dépasse les 1 000 ans, dont le baobab sacré du Madagascar.
À notre retour à Morondave, nous avons profité de la température sèche et humide de la côte ouest et de son sable omniprésent, même au coeur du centre-ville, en allant sur le bord de la plage. Nous avons bien sûr succombé à l'eau chaude du canal de Mozambique qui malgré tout nous rafraîchissait de cette température presque insupportable. Après un léger souper dans un pub près de notre hôtel, nous avons eu la chance d'assister à ce dernier coucher de soleil de notre séjour à Morondave. Comment se lasser de ce spectacle?
Ce matin, à 4h00, nous étions assises dans le taxi à la recherche de ces géants qui croient au fil des années: les baobads. Pour nous accompagner sur notre route, nous avions un magnifique ciel étoilé et Bob Marley à la radio...quoi exiger de plus. À moins d'une heure de route en pleine brousse, nous avons vu devant nous cette allée tant parlée et tant attendue. La nuit nous cachait encore ces merveilles, mais nous tentions d'analyser ce mystique arbre à travers la lueur des étoiles et de la lune. Appareil photos à la main, nous attendions les premières lueurs du soleil pour pouvoir vous partager cet alignement majestueux. Malgré le fait que l'allée des baobabs est la plus photographiée de tout le Madagascar, nous étions les deux seules vasas assez crinquées pour prendre le taxi au petit matin et faire ce circuit en pleine brousse. Après les premières percés du soleil, nous avons vite compris pouquoi cette allée était si prisés par les touristes. Malgré le fait que nous avions vu maintes toiles et photos de cet endroit, le fait d'y être ne peut être comparable. Le sentiment d'être à un endroit que peut de gens auront la chance de voir dans leur vie est très particulier et ajoute de l'importance à ce moment. Les images que nous avons prises de pourrons vous communiquer cette sensations, mais pourront vous démontrer la beauté et la richesse de cet endroit.
Ensuite, à six kilomètres plus loin, nous sommes allées observer les baobabs amoureux qui sont malheureusement mutilés par les graffitis des touristes. Et oui, ces maîtres de la nature subissent le même sort que ces ponts, ces édifices et nombreuses affiches sur lesquels les amoureux ne peuvent s'empêcher de graver à tout jamais leur amour du bout de la lame d'un couteau ou encore d'une clé d'automobile. Dommage que ces derniers ne réalisent pas l'impact négatifs que leur envie a sur le paysage.
Au Madagacar, on dénombre 6 et 7 selon certaines sources, des 8 espèces de baobabs rescencé sur la planète. Le continent africain n'en compte qu'une, tout comme l'Australie. Nous retrouvons les baobabs principalement sur la côte ouest et le sud de la Grande Île. Tout comme plusieurs arbres malgaches, le baobab connait une multitude d'usage, malgré que sa solidité empêche les habitants de l'abattre. Ses feuilles et ses fruits peuvent se consommer bouillis, son écorce, une fois l'arbre mort, sert à fabriquer des cordes, des vêtements et à bâtir des maisons. Sa sève est utilisée pour confectionner du papier et finalement et son tronc représente un véritable réservoir d'eau et peu contenir des milliers de litres. Certaines espèces sur l'île dépasse les 1 000 ans, dont le baobab sacré du Madagascar.
À notre retour à Morondave, nous avons profité de la température sèche et humide de la côte ouest et de son sable omniprésent, même au coeur du centre-ville, en allant sur le bord de la plage. Nous avons bien sûr succombé à l'eau chaude du canal de Mozambique qui malgré tout nous rafraîchissait de cette température presque insupportable. Après un léger souper dans un pub près de notre hôtel, nous avons eu la chance d'assister à ce dernier coucher de soleil de notre séjour à Morondave. Comment se lasser de ce spectacle?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire